© CDHS - SAINT-CLEMENT - 2019
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Bienvenue

sur l’Espace de…

 « Joson et La Poux » 

Mon Grand-Père Joson
Joson, Je ne t'ai pas assez vu durant treize ans Tu es parti trop tôt à 74 ans, Et pourtant, en vacances tous les ans nous venions Tous les dimanches nous revenions. Accumulation de maladies Tu vieillissais petit à petit Ton caractère devenait un peu étrange Tu radotais mais c'est la guerre et la maladie qui changent. Jusqu'au jour où tu es décédé Tout est allé très vite Mère-Grand a tout surmonté. Moi j'ai grandi, toi tu es parti. Tu laisses un vide dans l’allée qui conduit au cimetière Le banc est vide dans la p’tite couche au soleil Tu aimais les Panzani et la confiture de fraises entières Tu chiquais et Mère-Grand n’aimait pas. Aïe ! J'aurais tellement voulu être un peu plus âgée Pour t’écouter,  te voir, t'entendre davantage et Rire encore un peu plus avec ta canne et pour un rien Mais les regrets ne servent à rien. Bonne chance pour ton nouveau chemin accueillant. Nous veillerons sur ta poupée Josette et sur Mère-Grand longtemps. Adieu, je sais que tu n'es pas très loin et maintenant J'ai compris que c'était important Ne jamais oublier les siens, jamais. Bonne route Joson, si tu nous vois, compte sur nous maintenant. Je ne t'oublierai jamais.
Page précédente Page précédente VALERIE MA MERE-GRAND VALERIE MA MERE-GRAND Page précédente Page précédente JOSON MON GRAND-PERE JOSON MON GRAND-PERE
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 « Joson et La Poux » 

Mon Grand-Père Joson
Joson, Je ne t'ai pas assez vu durant treize ans Tu es parti trop tôt à 74 ans, Et pourtant, en vacances tous les ans nous venions Tous les dimanches nous revenions. Accumulation de maladies Tu vieillissais petit à petit Ton caractère devenait un peu étrange Tu radotais mais c'est la guerre et la maladie qui changent. Jusqu'au jour où tu es décédé Tout est allé très vite Mère-Grand a tout surmonté. Moi j'ai grandi, toi tu es parti. Tu laisses un vide dans l’allée qui conduit au cimetière Le banc est vide dans la p’tite couche au soleil Tu aimais les Panzani et la confiture de fraises entières Tu chiquais et Mère-Grand n’aimait pas. Aïe ! J'aurais tellement voulu être un peu plus âgée Pour t’écouter,  te voir, t'entendre davantage et Rire encore un peu plus avec ta canne et pour un rien Mais les regrets ne servent à rien. Bonne chance pour ton nouveau chemin accueillant. Nous veillerons sur ta poupée Josette et sur Mère-Grand longtemps. Adieu, je sais que tu n'es pas très loin et maintenant J'ai compris que c'était important Ne jamais oublier les siens, jamais. Bonne route Joson, si tu nous vois, compte sur nous maintenant. Je ne t'oublierai jamais.
Joson en 1972
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